~ Où vais-je ? {PV}

~ Nous ne choisissons point. Notre destin choisit. Et la sagesse est de nous montrer dignes de son choix, quel qu'il soit.

Qui est plus utile, le soleil ou la lune ? La lune, bien entendu, elle brille quand il fait noir, alors que le soleil brille uniquement quand il fait clair. Pourtant, on voit plus facilement le soleil que la lune, elle si discrète, mais si sincère, jamais trompeuse, toujours présente, petit grain de lumière dans la nuit. La vérité est comme le soleil. Elle fait tout voir et ne se laisse pas regarder. Alors qu'est la lune ? Un mensonge illuminant ? Il ne sert de rien à l'homme de gagner la Lune s'il vient à perdre la Terre. Cette phrase devait être inconnue dans l'esprit fuyant d'Hana, car celle-ci aurait voulu voguer dans le ciel qui se trémoussait fièrement au-dessus d'elle. Un ciel bleu sans imperfection, un soleil qui ne reflètait au monde qu'un éclat et une chaleur des plus suffocante. Oui, plus que jamais la jeune femme aurait aimé atteindre les cieux. Certes s'était fuir la vie, mais après tout n'était-ce pas ce qu'elle venait d'accomplir ? Fuir la réalité pour un monde meilleur, pour un monde fait d'illusion ? Si. Le village natal qui l'avait vu grandir était à présent bien loin derrière elle. La seule phrase qui parvient à pénétrer l'esprit aussi furibond et tourmenté d'Hana fut celle-ci ; ce que je veux, c'est me fuir moi-même. A l'instant la jeune femme ne se considérait comme rien d'autre qu'une lâche et une peureuse. Ce n'était pas le cas. Cela avait été dit, tracé. C'était son destin. Son destin avait été de fuir celui auquel elle était destinée pour devenir libre.

Se contrefichant bien de ce qu'il attendait dans l'avenir, Hana se contenta de marcher. Marcher, pourquoi ? Où ? Pour atteindre quel but ? Quelle destination ? Quel destin ? Aucune idée. Le mieux était encore de marcher, de s'épuiser et de s'écrouler en terre inconnue. Était-ce un but que de vouloir partir ? Peut-être. Pourtant, le village quitter tantôt ne lui manquait en rien, ce n'était pas cette eau coulant en abondance ou cette brume épaisse et incessante qui faisait qu'une larme se fut visible sur la joue d'un blanc immaculé d'Hana. Cette larme était un mélange de tout, un brin de colère pour une once de peur. Une haine sans fin diluée par une sensation de lâcheté et de trahison. Pourtant, ce n'était pas Hana qui avait fuit le village caché de la brume, mais ce village qui l'avait fuit. Ce flux de sensation fut nouveau et incontrôlable pour la jeune femme qui essaya en vain de retenir ses larmes. Peut-on dire que l'on est seul quand la solitude nous accompagne ? Peu importe. Ce qui était sûr c'est qu'après de longues heures, où plus encore, du moins durant tout le temps pendant lequel Hana en avait oublié la notion du temps et même la notion de vivre, un visage enfin reconnaissable réapparut sur le visage de la jeune femme, un regard déterminé et combattant, un regard alors dénué de larmes.

Reprenant conscience de sa position et de sa faiblesse la jeune femme s'intéressa enfin au monde dans lequel elle retrouva peu à peu sa place, une place qui était alors celle d'une déserteuse. Un ciel plus lénifiant et envouteur que jamais, mais où la présence de volatiles était invisible et où le soleil est d'une telle puissance qu'il est impossible de le regarder sans craindre un effet néfaste. Un endroit avec comme seul repère du sable à des kilomètres à la ronde. Un désert aride. Cela, la ninja ne mit point longtemps à s'en rendre compte, elle se trouvait à la frontière d'un village tristement célèbre pour sa chaleur aussi insupportable que mortelle et son passage dit d'impénétrable pour les inconnus et les faibles ; son désert. Celui-ci s'étendait sans fin afin de permettre au village caché du vent, autrement dit l'un des cinq puissances du monde ninja, une protection sans faille. Cette traversée des plus complexes ne fut qu'un défi à relever pour Hana qui pouvait enfin prouver qu'elle n'était pas faible. Ainsi, c'est avec entrain qu'elle s'apprêta à braver le désert aride qui s'offrait à elle et trouver ce village qui peut-être lui réserverait un accueil lui permettant de récupérer son rang de ninja nomade, mais libre de faire ses propres choix. Si ce privilège lui était accordé la ninja ce promis de faire fidélité au kazekage et au village tout entier, un village prénommé Suni qui se cachait sûrement quelque part dans cet endroit dangereusement mortelle pour les intrus ... comme l'était à cette instant Hana.

Un temps magnifique, un astre solaire irradiant de ses rayons. Une lumière apportant chaleur, réconfort et joie de vivre pourtant se monde semblait masqué la déchéance de la race humaine dans de nombreuse guerres. La guerre, un sujet méritant toute attention car la convalescence de tout homme s’exprimait lors d’une confrontation à mort, devoir oté la vie à une personne est un pouvoir qu’aucun mortel ne devrait avoir, jouir d’avoir mis fin à l’existence de tous un cycle nous rend heureux, triste vérité mais nous avons appris à vivre avec.

Madara du s’adapté à cette époque, revoir entièrement sont jugement sur les buts futures de sont organisation. Je parle bien sur, d’un futur proche, pour l’instant des ordres avaient étés donnés, c’est marchant droit sans reculé sur ses décisions que l’Uchiha gravis la foret entourant la grotte d’Akatsuki, d’un pas lourd et ferme. Un rythme soutenu, laissant que de vague empreinte causé par l’exemption de ses jambes. La tunique de l’Akatsuki valsé à la cadence d’une danse funèbre.

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* L’étendu désertique de Suna…

Après avoir déambulé dans la foret, Madara exécuta de long saut pour traversé toute la contré sud et déboulé sur le fameux désert composant le pays de vent. Un endroit très spécial, la température, l’atmosphère, un seul mot pour qualifié cette ensemble… étouffant. L’oxygène que notre corps demande pour survivre était d’une quantité extrêmement minime. Un léger essoufflement se fit entendre derrière le masque de Madara, le choc thermique était assez important, car d’un paysage riche en végétaux et d’un sol sableux reflétant le soleil, une grande différent les séparé.

Et bien, pourquoi donc avoir fait une escale dans se désert ? Pour achevé un travail qui aurait dut fait il y a bien longtemps meme cela remonte au temps ou il faisait pas encore partie intégrante de l‘Akatsuki, des qu’il perçu les rumeurs, puis la confirmations de ses ragots concernant la possible que l’ancien ote de Shukaku soit en vie, il en fut déshonoré. L’organisation n’a pas vraiment de règle mais un principe, et Gaara n’en faisait pas exception et puis ce n’est pas finit, il est dit aussi qu’il arrive encore à manipulé le sable, est c’est une affinité que l’Uchiha aimerai bien voir à l’action.

« Après tous c’est pas s’y mal qu’il soit encore en vie, cela me divertira… »

Ses pieds s’enfoncèrent dans se sable aride, ralentissant les mouvements de Madara qui préféré prendre sont temps, quitte à s’attardé dans se désert tant redouté de par les nombreuse victimes qu’il à commis. Au loin, sur la ligne délimité l’horizon du désert une carrure féminine se dessiner a ses yeux.

« Que fait une si jeune fille dans se désert si dangereux ?Hélas...»

HRP / Désolé Hana-Chou ! J'ai pas eu d'inspi du tout *-*

~ La solitude est bonne aux grands esprits et mauvaise aux petits. La solitude trouble les cerveaux qu'elle n'illumine pas.

Un soleil au comble de son éclat doré, un supplice ou une bénédiction ? Une bénédiction par le sourire des enfants, un supplice par la chaleur des plus suffocante qui régnait sur le monde parsemé d'être en tout genre tel que les ninjas. Seul deux nuages de fumées blanchâtres brisèrent le bleu sans fin des cieux, ce qui permit aux oiseaux de planer entre eux sans encombre. Le silence avait atteint une autorité comme nul ne peut l'espérer, bien que bientôt le sifflement mélodieux des oiseaux permit à une quelconque musique de briser le silence. Des oiseaux ? Des nuages ? Pourtant, ils avaient déserté le ciel quelques minutes auparavant. Une hallucination ? Peut-être. Ce n'était qu'un son à peine audible, à peine perceptible et pourtant il résonna longtemps dans la tête d'Hana. Pourquoi ? Car les sons étaient comme inexistants dans le désert alors il était comme impossible d'échapper au moindre détail. D'ailleurs pour répondre à la question précédente qui désigne l'astre solaire je me permettrais de signaler que la question mérite attention. Dans un pays tel que Kiri où le plus souvent une pluie diluvienne intervient et bouleverse le cour des choses le soleil est en effet précieux, mais dans un endroit tel qu'un désert aride il est difficile de ne pas succomber à la chaleur, à la déshydratation et à l'énervement. Tous ça n'est dû qu'à une seule chose, un seul être ; le soleil. Ce contraste de temps fit d'Hana plus fébrile qu'elle ne l'était, d'ailleurs la jeune femme était déjà tellement épuisée qu'elle s'était assoupi et malgré ça ses jambes avaient continué de la porter. Ces nuages, ces oiseaux ... Toutes ces vies. Ce n'était qu'un rêve. Non. Un souvenir. Le temps perçu est forcément du passé, ce qui revient à dire que le présent a un arrière-goût de souvenir et que l'avenir projeté n'est qu'un futur souvenir, donc un passé à venir ! Si tel est le cas, alors l'avenir de la ninja n'est guerre radieux et ne vaut pas la peine d'être vécu .

On ne pouvait dire que le chemin était parsemé d'embûches en tous genres, bien au contraire. Le sable était d'un blanc tout aussi immaculé que la peau d'Hana et l'horizon aussi vide que le néant. Ne sachant comment une chose telle que s'endormir en marchant, sous un soleil des plus encombrant, en terre inconnue avait pu s'accomplir la jeune femme continua néanmoins son chemin. Un chemin invisible. Inconnu. Ne vous méprenez pas, les jambes de la jeune femme redoublaient d'effort pour montrer qu'elles étaient à bout, cependant sous l'ordre d'un cerveau déterminé elles ne pouvaient se permettre un repos, c'est avec cette même rage qu'avançait Hana. Ce qui était étrange c'est que dans se souvenir seul la sensation de bonheur et de joie de vivre restait perceptible, pas d'image à part ces nuages, ces oiseaux, pourtant cela procura une grande force à la jeune femme qui décida que dans sa vie alors qualifiable de pathétique elle découvrirait ce que c'est que le bonheur. Rien qu'une fois. Le plaisir est le bonheur des fous, le bonheur est le plaisir des sages.

Dans la simplicité et la sagesse du paysage les pas d'Hana se firent plus visibles que rien d'autre. Cela restait normal. C'était en effet la seule preuve de vie humaine en ces terres délaissées. Bientôt l'estomac pourtant vide et criant famine de la ninja se montra plus violant, ainsi un liquide blanc fut éjecté d'entre les lèvres de la jeune femme. Ce n'était ni nourriture, ni eau. Cela était évident puisque qu'Hana était aussi affamée que déshydratée. Cependant, la jeune femme n'eut guerre le temps de s'apitoyer sur son sort, car déjà une autre présence humaine se fit visible ... Ou non. Encore seulement audible. Se retournant avec adresse sur ses jambes tantôt encore tremblotantes, Hana se permit d'examiner son interlocuteur bien que celui-ci était à une distance considérable. Un visage des plus étrange. Bientôt la jeune femme fut contrainte de se laisser à dire que ce n'était qu'un masque. Une taille à l'air imposante et à la musculature caché par un accoutrement digne d'un ninja. Une robe, d'un noir aussi pur que les ailes d'une nuit sans lune, parsemé de nuages en tout genre. Un akatsukien comme en avait tant entendu parler Hana qui ne put s'empêcher une grimace à la fois embarrassée et dégoutée. Attaquer n'était pas la solution. Déjà qu'elle puisait dans ses forces pour atteindre un but invisible ... Néanmoins, sur ses gardes, Hana fixa de ses yeux saphir l'intrus à la voix grave et viril.

- Je me promène, cela n'est-il pas visible ?

Une zone stérile, ou peu propice à la vie, en raison du sol impropre et de la faiblesses des précipitations. Voila ce qu’un désert, au deux extrême lié contradictoire. Pendant la journée, ses habitants et cultivateur subissaient le courroux d’un soleil brûlant la surface de la peau et la nuit tombait un froid se répandant aussi vite qu’une maladie contagieuse. Obligeant l’arret total des activités en cours, c’est ainsi que vivait les gens ayant accepté ses conditions difficiles. Cependant un seul point positif dans tous ses éléments péjoratif.

« Le désert n’est rien d’autre qu’une famille forgeant des Ninjas impitoyable et résistant à tous climat. »

Pensa Madara à voix très basse, ce n’était pas pour n’importe quel raison que sa destination en était le village c’étant battit autours de cette endroit, très comparable à l’enfer. Maintenant passons étroitement à l’inconscience de cette femme, portant le bandeau frontal de Suna. Une phrase des plus provocatrice, une phrase pouvant dicté certain désir à l’homme dans ce cas bien précis. La communautés dans laquelle se don qu’est la vie nous à été offert, n’en est que mesquine, tourmenté de fourberie et d’acte répugnant. Voyons quel chemin allait emprunté le chef de l’Akatsuki.

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« Es ce du courage ? Ou une pulsion suicidaire ? Mes questions ne cible personne en particulier, quant bien même tu ose donné réponse à une interpellation n’étant pas tienne…»

Sont œil visible était river sur cette habitante de Suna, il fut d’une facilité infantile de décelé qu’elle avait deviné l’appartenance de Madara à l’organisation Akatsuki. Maintenant ce personnage étant connu sous le nom de Tobi, n’avait aucune réputation. C’est pour ça qu’il ne risquait aucune perte de sont identité secrète. Il s’avança d’un pas lent en direction de sont interlocutrice, pour réduire la distance qu’il est séparé à juste quelques centimètre, cote à cote, sont masque cachant toute expression de sont visage, le rendait en tout point imprévisible.

Cette absence de vibration acoustique pesait dans l’air, un silence tombant dans la plus grande neutralité. La tué ? Un mot trop familier, une action barbare et irréfléchie. Contrairement à ce que peut pensé un Ninja d’un membre provenant d’une organisation criminelle, Madara était très pointilleux sur le choix de ses adversaires, et l’honneur pouvant sans dégageait une fois mort. C’est pour cette raison, qu’il vas l’épargné. C’est à ce moment, qu’en regardant l’axe du soleil, il s’aperçu que trop de temps c’était écoulé depuis sont départ.

« Tu es s’y jeune, et pourtant la peur n’habite pas ton cœur…Nos chemin se recroiseront en tout autre circonstance »

Affirma l’Uchiha tous en s’éloignant…